C'est ce 26 juin que le gouvernement annonce la nouvelle : la proposition d'un plafond d'augmentation des loyers de 3,5% maximum durant un an afin de "limiter l'impact de l'inflation sur les locataires" (cf l'article du 27/06 du magazine Capital).
L'inflation affecte grandement les français ces derniers temps. Elle touche les locataires mais aussi les propriétaires. C'est pourquoi la possibilité d'un gel des hausses a été écartée par le Gouvernement. Cette solution permettrait ainsi l'équilibre entre propriétaires et locataires.
Alors que l'indice de référence des loyers pourrait atteindre environ 5,5% d'ici la fin de l'année et être plus élevé encore au cours du premier semestre 2023, si la mesure s'appliquait les loyers pourraient au maximum augmenter de 3,5%, pendant un an. Niveau positionné en dessous de l'inflation et donc de l'indice.
Amélie de Montchalin, ministre de la Transition Écologique et de la Cohésion des Territoires prévoit de réunir les associations de locataires dans le but de discuter cet évènement.
Consécutivement, les APL seront revalorisés à partir du 1er juillet afin d'aider les locataires. Cette aide engendrant une dépense additionnelle
de 168 millions d'€ pour l'État.
Pas de solution miracle mais un compromis donc entre les intérêts des locataires et ceux des propriétaires..."en même temps"...!
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